Le minimalisme
Dans l’imaginaire collectif, le minimalisme est très souvent associé à l’idée d’un dépouillement quasi, sinon total.
Cela peut être le cas, parfois, et on parle alors de “minimalisme extrême”… Mais le minimalisme est avant tout un art de vivre, et chacun peut l’adapter à ses propres désirs et besoins.
Être minimaliste, c’est être capable d’identifier ce qui nous est utile et ce qui nous fait du bien, pour ensuite être capable de faire les meilleurs choix pour soi-même au quotidien, en toute conscience.
Dans un premier temps, on peut commencer par se poser des questions très simple :
qu’est-ce qui me plait ?
qu’est-ce qui semble m’apporter de la joie ?
au contraire, qu’est-ce qui me pèse ?
qu’est-ce qui me freine au quotidien ?
Il peut s’agir de possessions matérielles, de relations, de pensées, d’actions …
Et l’on peut constater que plus l’on se pose ces questions, plus l’on parvient, au fil du temps, de la pratique et des expériences, à affiner nos réponses.
Bien sûr, lorsque l’on s’engage sur la voie du minimalisme, on commence par le plus évident, on se débarrasse de ce qui nous encombre, de ce qui est superflu et dont nous avons pleinement conscience. C’est au fur et à mesure de la démarche que l’on parvient à vraiment se découvrir et à redéfinir notre notion personnelle de l’essentiel.
En fait, être minimaliste, ce n’est pas faire le vide aveuglément. Être minimaliste, c’est faire de la place pour ce qui compte vraiment pour soi.
A bientôt ~♡
source de l'image : Ian Dooley